enquete de satisfaction service aide à domicile

LAide-Soignant(e) effectuera principalement des soins de nursing et d'accompagnement auprès de personnes âgées ou en situation de handicap à leur domicile. Déplacements sur les cantons de Chorges, Tallard et la ville de Gap (indemnités kilométriques prévues selon la puissance du véhicule). Avantages : - Mutuelle - Reprise d'ancienneté - Primes conventionnelles - Primes Pourle service mandataire : 2 h par jour, du lundi au vendredi (43 heures par mois) : 18,27 € de l’heure tout compris. 4 h par jour, du lundi au vendredi (87 heures par mois) : 17,59 € de l’heure tout compris. 6 h par jour, du lundi au vendredi (130 heures par mois) : 17,01 € de l’heure tout compris. 8 h par jour, du lundi au Commechaque année, le CIAS a réalisé en juin son enquête de satisfaction à l'égard des bénéficiaires du service d'aide à domicile. On Enquêtede satisfaction 2019 : nos aides à domicile donnent leur avis sur nos services. 86% nous recommandent auprès d'autres intervenants. Toggle navigation. 09 78 38 38 38. Qui sommes-nous ? Nos Agences; Tarif; Contact; Etablissement; Emploi; Mon compte; Blog. ← Retour. 06/03 2020 Enquête de satisfaction intervenants 2019. A lire également : Enquête Mairie CCAS Médecins Entourage Service d'Aide à Domicile Hôpitaux Site internet Autres. Page 2 sur 8 Avez-vous eu recours à des services de soins autres que ceux proposés par le SSIAD ? 0% n’ont pas répondu. Quel est votre avis sur l’accueil dans notre service sur les points suivants : 6,3% n’ont pas répondu. Oui 6,3 % Non 93,8 % AVEZ-VOUS EU RECOURS À nonton game of thrones sub indo lk21. Afin de protéger les seniors qui sont des consommateurs plus vulnérables, la DGCCRF a vérifié le respect de la réglementation[1] relative aux contrats de services d’aide et d’accompagnement à domicile SAAD auprès de plus de cinq cents opérateurs privés à but non lucratif et opérateurs publics principalement des centres communaux d’action sociale. L’enquête a ciblé l’activité d’aide et d’accompagnement à domicile des structures qui emploient des salariés intervenant chez les seniors. Celle-ci requiert une autorisation délivrée par les conseils départementaux. Les prestations s’effectuent auprès de personnes particulièrement vulnérables personnes âgées dépendantes, personnes handicapées et personnes souffrant de pathologies chroniques. Structures contrôlées Opérateurs publics 29% Opérateurs associatifs 71% Des pratiques commerciales trompeuses sur les prix, la qualité et la durée des prestations constatées chez 18 % des opérateurs contrôlés L’enquête a permis de constater que de nombreux établissements valorisent abusivement la qualité des prestations proposées. Plusieurs pratiques ont été constatées apposition sur les documents et en vitrine de logos de certification que l’organisme ne détient pas ; utilisation de logos de l’État ou du logo de la charte nationale de qualité alors que l’établissement n’adhère pas à cette démarche ; présentation de certaines obligations légales comme étant des offres qualitatives de l’établissement, par exemple le devis gratuit[1] ; utilisation dans les documents précontractuels de la notion d’agrément-qualité» qui peut laisser croire aux consommateurs que l’organisme présente des qualités particulières ; surévaluation des diplômes des intervenants. Des manquements dans l’information précontractuelle délivrée aux consommateurs Les informations précontractuelles à communiquer au client sont définies par la loi. Or, l’enquête a révélé des manquements portant principalement sur l’absence de la mention du mode d’intervention, la mention incomplète de la liste des prestations offertes, la mise en valeur excessive de la réduction d’impôt, l’absence d’information sur le droit au devis gratuit. Lorsque le devis gratuit était établi, il pouvait présenter des erreurs, telles que la seule mention du reste à charge pour le consommateur sans indication du montant total des prestations. Plus de la moitié des professionnels contrôlés n’informaient pas correctement sur les prix Dans le secteur des SAAD, l’information relative aux prix est souvent peu claire pour le consommateur. Les structures présentent de nombreux prix horaires pour des prestations qui diffèrent selon le statut de l’établissement ou selon la prise en charge des bénéficiaires. L’enquête a révélé plusieurs types de manquements relatifs à l’information sur les prix tels que l’absence d’affichage des prix dans le lieu d’accueil ou leur affichage incomplet, le défaut de mise à jour des prix affichés, le manque d’accessibilité à l’information sur les prix, mais aussi l’annonce de prix différents sur les supports d’une même structure, l’absence d’information sur les majorations de prix en week-end et les frais annexes, l’annonce d’un prix pour une heure de prestation incluant le temps de trajet. Des anomalies et des clauses abusives dans les contrats 67 % des opérateurs contrôlés présentaient des anomalies dans leur contrat de vente hors établissement[1]. Par exemple, un contrat présentait un bordereau de rétractation non conforme, mentionnant un délai de rétractation de 7 jours au lieu du délai légal de 14 jours. 45 % des professionnels ne respectaient pas la réglementation spécifique au Code de l’action sociale et des familles CASF. Concernant la durée des contrats, ce Code oblige les structures non habilitées à intervenir auprès des bénéficiaires de l’aide sociale à proposer des contrats à durée indéterminée précisant les modalités de leur résiliation ; or, de nombreux opérateurs concluaient des contrats avec une durée déterminée ajustée au plan d’aide établi par le conseil départemental. Concernant les prix, la DGCCRF a relevé peu de manquements. Le CASF permet aux établissements non habilités à intervenir auprès des bénéficiaires de l’aide sociale de fixer librement le prix des prestations à l’entrée du contrat, puis de les augmenter selon un taux d’évolution fixé par un arrêté ministériel annuel ; ce taux est globalement bien respecté. Les enquêteurs ont également relevé des clauses abusives[2] dans les contrats proposés des clauses illicites, par exemple prévoyant la facturation de frais pour paiement par chèque, ou désignant un tribunal précis en cas de litige ; des clauses abusives de manière irréfragable[3], telles que celle réservant le droit au professionnel de modifier unilatéralement les clauses contractuelles ou celle réduisant les droits à réparation du consommateur en cas de manquement du professionnel ; des clauses présumées abusives, par exemple celle qui prévoit des modalités de résiliation plus rigoureuses pour le consommateur que pour le professionnel ; des clauses laissant apparaître un déséquilibre significatif entre les droits et les obligations du professionnel et du consommateur, telles que celle qui prévoit la facturation de prestations non exécutées en raison du décès du consommateur. Les structures méconnaissent le dispositif de médiation Il est apparu également lors de l’enquête que les structures associatives et publiques de services à la personne contrôlées méconnaissent l’article L. 612-1 du Code de la consommation qui instaure un conventionnement obligatoire avec un médiateur référencé permettant la résolution de litiges entre les professionnels et les consommateurs. Des mentions absentes dans les factures Enfin, les enquêteurs ont contrôlé le respect de la réglementation en matière de facturation. Les contrôles ont permis de constater dans certains cas l’absence de mentions obligatoires, par exemple le numéro d’immatriculation des intervenants, le numéro et la date d’enregistrement de la facture, le numéro de déclaration ou d’agrément ou encore la nature exacte des services fournis. À la suite de l’enquête, les structures qui utilisaient un logiciel de facturation ont contacté leur éditeur afin de solliciter la modification des paramètres de saisie et de pouvoir éditer des factures conformes. La plupart des manquements sont liés à une méconnaissance de la réglementation L’enquête a permis de constater un nombre important de manquements puisque 77 % des opérateurs contrôlés ont fait l’objet de suites. Ces suites concernaient principalement le non-respect des réglementations relatives aux informations précontractuelles et à l’information sur les prix, la présence de clauses abusives au sein des contrats et le non-respect de la réglementation de la vente hors établissement ou à distance. Dans l’ensemble, ces anomalies étaient davantage liées à une méconnaissance de la réglementation. La majorité des opérateurs se sont mis en conformité à la suite des contrôles. [1] Les SAAD concluent souvent leurs contrats au domicile de leurs clients. Il s’agit donc d’un contrat hors établissement. Ce type de contrat relève d’une réglementation spécifique. [2] Dans les contrats conclus entre professionnels et consommateurs, sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de créer, au détriment du consommateur, un déséquilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat. [3] Lorsqu’une clause est présumée abusive de manière irréfragable, il n’est pas possible d’apporter la preuve contraire devant le juge. Cette clause est donc réputée non écrite et ne doit pas s’appliquer. [1] Le devis gratuit est obligatoire selon l’article 6 de l’arrêté du 17 mars 2015 relatif à l’information préalable du consommateur sur les prestations de services à la personne. [1] Prévue au Code de l’action sociale et des familles CASF ainsi que de la réglementation relative à l’information préalable du consommateur prévue à l’arrêté du 17 mars 2015. Amaelles, le nouveau nom de Domicile 90, questionne régulièrement ses clients et patients afin d’évaluer leur niveau de satisfaction. Sont abordés l’accueil, les interventions ou encore les services administratifs. Nous avons le plaisir de vous présenter le résultat de cette enquête menée auprès de nos clients à l’automne 2021. Merci aux 249 personnes qui ont répondu sur 962 envois. Nous allons prendre en compte ces résultats dans le cadre de notre processus d’amélioration de la qualité, avec le souci de toujours mieux vous satisfaire. Cliquez ici pour télécharger les résultats de cette enquête. Navigation de l’article Enquête de satisfaction Prestations 2016 Enquête de satisfaction concernant les agences de Lorient et de Vannes L'enquête de satisfaction pour l'agence de Quimper aura lieu au mois d'octobre prochain. Introduction Chaque année, Avenir Sénior Plus effectue une enquête de satisfaction auprès des bénéficiaires de la réalisation de ce questionnaire s’inscrit dans une démarche qualité. Il a pour objectif de mieux répondre aux attentes des bénéficiaires et ainsi améliorer la qualité du service rendu. Méthodologie Le questionnaire d’enquête comprend 18 questions. Il est structuré en 2 parties principales Les relations avec l’agence, Les prestations d’aide à domicileL’enquête a été postée aux bénéficiaires qui y ont répondu de manière anonyme. Le taux de réponse pour ce questionnaire s’élève à %. Nous n’en présentons que quelques thèmes. Les résultats de l’enquête de satisfaction de juillet 2016 peuvent être consultés sur place dans nos agences de Lorient et de Vannes. Accueil physique et téléphonique de l’agence Les bénéficiaires interrogés sont satisfaits ou très satisfaits de la disponibilité des coordinatrices à 97%. 100% des personnes ayant répondu sont satisfaits voire très satisfaits de la qualité des informations qui leur sont fournies. Attitude des intervenantes 95% des personnes ayant répondu au questionnaire trouvent aimable et courtois le personnel d’intervention. La majorité des bénéficiaires ayant répondu apprécie la disponibilité des intervenantes à hauteur de 97%. 92% des bénéficiaires ayant répondu sont satisfaits voire très satisfaits de la ponctualité et du respect des horaires par les intervenantes. Conclusion Cette enquête démontre une satisfaction globale de la part des usagers d’Avenir Sénior Plus du Morbihan tant au niveau de l’équipe de l’agence que celui des coordinatrices et les gestionnaires étudient les points de progrès qui peuvent être apportés afin de corriger et d’améliorer la qualité des prestations. Enquête de satisfaction Agence de Lorien... Introduction Le présent rapport expose les principaux re&... Enquête de satisfaction Agence de Quimpe... Introduction Le présent rapport expose les principaux re... Avenir Senior Plus recrute Vous cherchez un emploi d’Aide Ménagere ou d’Assistant ... La remise des Trophées des SAP Une délégation de l’agence Avenir Senior Plus – Pays de Lo... Réouverture Réouverture au public des Agences Avenir Senior Plus i Informations... Informations COVID-19 Coronavirus Avenir Senior Plus assure la continuité de service auprès des bénéfici... Avenir Senior Plus une aide pour Res... Vous ne pouvez sortir de votre domicile en cette période de confinemen... Certification Qualisap Bureau Veritas Avenir Senior Plus est certifié QUALISAP par l’organisme de c... Enquête de satisfaction Lorient aide à d... Introduction Le présent rapport expose les principaux résultats de l&... Enquête de satisfaction QUIMPER aide à d... Introduction Le présent rapport expose les principaux résultats de... Les Allergies Il y a plusieurs sortent d’allergies rhinite allergique, al... RECOMMANDATIONS EN CAS DE CANICULE Durant l’été, la canicule est une forte source d’inquiétud... Enquête de satisfaction QUIMPER aide à d... Introduction Le présent rapport expose les principaux résultats ... Services à la personne généralisation ... INFO, INFO, INFO, INFO, LOI DE FINANCE 2017…. Services à la... Comment bien vieillir? COMMENT BIEN VIEILLIR ? En 2000, un Français sur 5 avait 60 ans... Avenir Sénior Plus à la Foire Exposition... Avenir Sénior Plus sera présent à la Foire Exposition de VANNES du ... Découvrez notre nouveau site Nous vous souhaitons une bonne navigation sur notre nouveau site ! Les données recueillies dans le cadre de la présente enquête mettent en lumière l’incapacité de certaines instances locales et régionales d’appliquer la Politique de soutien à domicile qu’a adoptée le ministère de la Santé et des Services sociaux en 2003. Le Protecteur du citoyen en vient à la conclusion que ces instances ne sont pas en mesure de respecter l’esprit de cette politique. L’analyse des différents dossiers de plaintes fait ressortir que plusieurs centaines d’usagers sont en attente de services  pour de l’aide aux activités de la vie quotidienne dont l’aide à l’hygiène, au lever ou à l’habillage;  pour de l’aide aux activités de la vie domestique préparation des repas, entretien ménager, lessive, etc.;  pour de l’accompagnement aux obligations civiques. Faute de moyens, les instances locales ont dû développer des pratiques qui privent les usagers des services nécessaires pour répondre à leurs besoins, reportant ainsi totalement ou partiellement le fardeau sur les aidants naturels et contribuant à une utilisation inappropriée des places en milieu hospitalier, en réadaptation ou en milieu d’hébergement. Le Protecteur du citoyen remarque que les volets les plus problématiques sont l’insuffisance des heures de services allouées en fonction des besoins et les délais à recevoir des services. De façon plus générale, nous notons également une rigidité dans l’application des critères et une nette tendance au nivellement vers le bas des heures de services allouées. La raison principale évoquée par les établissements de santé et des services sociaux pour expliquer leur non-respect de la Politique nationale est la nécessité de répondre à l’objectif financier du Ministère dans l’atteinte du déficit zéro à la fin de l’année financière. Nous constatons que cet objectif financier compromet le maintien à domicile d’une clientèle vulnérable. [23] Le Protecteur du citoyen est vivement préoccupé par l’impact d’un niveau insuffisant de services à domicile sur la qualité de vie des usagers présentant une incapacité permanente ou en perte d’autonomie et sur la sécurité de la clientèle à domicile en attente de services. Nous assistons actuellement à une répartition des ressources et à un discours justificatif qui donnent l’illusion d’une accessibilité équitable pour tous, mais qui, en réalité, répondent bien peu aux besoins adéquatement évalués des personnes visées. En effet, bien que le 3 mars 2011, l’on annonçait un ajout budgétaire de 45 millions de dollars pour le soutien à domicile des personnes âgées, en parallèle, on exigeait du réseau de la santé et des services sociaux des compressions de 300 millions de dollars en plus de l’atteinte de l’équilibre budgétaire. Le Protecteur du citoyen s’interroge sur l’utilisation réelle de ces 45 millions de dollars dans ce contexte. Le Protecteur du citoyen constate également que les délais d’attente peuvent être très longs avant la réponse complète aux besoins requis par la clientèle. Nous avons observé que certains usagers et proches-aidants attendaient des services depuis plusieurs années, pour une partie de leurs besoins déjà évalués par des professionnels et conséquemment considérés comme requis. Le Protecteur du citoyen constate que le manque de ressources en soutien à domicile a un impact direct sur l’occupation des lits en centre hospitalier ou en centre de réadaptation. Faute de soutien à domicile, des personnes sont obligées de demeurer hospitalisées dans des lits de courte durée, ou des lits de réadaptation pour de longues périodes, entraînant ainsi un engorgement du système de soins. L’argumentaire officiel soutient que tout est mis en œuvre pour que l’usager reçoive les soins et les services requis au bon endroit et au bon moment ». Les services de soutien à domicile coûtent généralement beaucoup moins cher que les soins et les services hospitaliers et le ministère affirme, dans sa politique, que Nous assistons à une dans des lits de courte durée, ou des lits de [24] le choix de l’usager de rester à domicile doit être respecté lorsque cela ne compromet pas sa santé ni sa sécurité. Ces éléments font en sorte que le Protecteur du citoyen s’interroge sur le fait que la priorité n’est pas accordée au financement d’un service qui vise pourtant à atteindre l’objectif d’envisager le domicile comme la première option pour le citoyen. Dans la plus récente étude comparative des dépenses du secteur public en services à domicile au Canada14 14. Institut canadien d’information sur la santé, Dépenses du secteur public et utilisation des services à domicile au Canada Examen des données, mars 2007. , faite en 2007, nous constatons que le Québec se situe en bas de la moyenne canadienne en 1994-1995 53,20 $ et en 2003-2004 91,15 $. En effet, l'examen des données de la figure 3, présentée ci-après, montre que le Québec dépensait systématiquement moins par habitant en 1994-1995 41,72 $ et en 2003-2004 78,93 $ que l'Ontario 60,79 $ et 98,74 $ ou le Nouveau-Brunswick 93,18 $ et 156,35 $. [25] Figure 3. Niveau des dépenses par habitant des gouvernements provinciaux et territoriaux en services à domicile, 1994-1995 et 2003-2004, en dollars constants de 1997, provinces et territoires choisis et ensemble du Canada15 Lorsque les budgets sont ventilés en soins de santé à domicile et en soutien à domicile, nous constatons que le Québec se situe près de la moyenne canadienne pour les soins de santé à domicile, mais bien en deçà de cette moyenne pour les services de soutien à domicile16. Ainsi, en 2003-2004, le Québec dépensait 31,79 $ par habitant en services de soutien à domicile comparativement à 54,97 $ pour l'Ontario et 93,59 $ pour le Nouveau-Brunswick. Les auteurs de l'étude observent qu'au Québec, la croissance du volet soutien à domicile est beaucoup plus lente que celle des soins de santé »17 15. Ibid., p. 10. parce que 16. Ibid., p. 17. 17. Ibid., p. 19. Le Québec se situe près de la moyenne canadienne pour les soins de santé à domicile, mais bien en deçà de cette moyenne pour les services de soutien à domicile. [26] les soins de santé à domicile occupent une place de plus en plus importante dans la prestation des services à domicile »18. En somme, le Québec se situe parmi les provinces qui enregistrent le nombre le plus élevé d'utilisateurs par 1 000 habitants pour les services de soins de santé à domicile subventionnés par le gouvernement19 » et le Québec gravite sous la moyenne canadienne pour les services de soutien à domicile. Figure 7. Niveau des dépenses par habitant des gouvernements provinciaux et territoriaux en soins de santé à domicile et en soutien à domicile, sept provinces et territoires, 2003-2004 en dollars constants de 199720 Bien que le Québec ait une situation particulière en matière d’aide à domicile, par son utilisation de mesures fiscales ainsi que son Programme d’exonération financière pour les services d’aide domestique PEFSAD, mesures qui tiennent compte de la capacité financière des usagers et leur famille, ces données 18. Ibid., p. 19. 19 . Ibid., p. 19. 20. Ibid., p. 17. [27] appuient les constats établis par le Protecteur du citoyen dans son analyse de l’allocation budgétaire aux services de soutien à domicile. [28] 4 Recommandations En s’appuyant sur les faits établis au cours de la présente enquête, l’analyse du Protecteur du citoyen l’amène à formuler deux recommandations afin que les établissements puissent appliquer la Politique de soutien à domicile Chez soi Le premier choix ». RECOMMANDATION 1 Considérant que la présente enquête a démontré l'introduction dans la pratique de critères d'exclusion non prévus aux services de soutien à domicile, le plafonnement d'heures de services et une grande variation de l'accessibilité à ce programme selon les régions du Québec; Considérant que le ministre de la Santé et des Services sociaux adopte les orientations générales, fixe les cibles nationales pour chaque clientèle et alloue les ressources aux agences de la santé et des services sociaux; Considérant que l’inadéquation entre l’offre de services et la réalité des budgets alloués en soutien à domicile cause des préjudices aux personnes en attente de services et à leurs proches-aidants, pour des besoins déjà évalués; Considérant que plusieurs personnes handicapées ou âgées sont en attente de services de soutien à domicile; Considérant le risque d’obliger l’hébergement prématuré de personnes qui ont une incapacité significative et persistante; Considérant que le Québec se situe en bas de la moyenne canadienne dans le financement du soutien à domicile selon l’étude la plus récente; [29] Le Protecteur du citoyen recommande a que le ministère de la Santé et des Services sociaux détermine le taux de financement requis pour les services de soutien à domicile, en procédant • à l’analyse des listes d’attente pour l’ensemble des régions du Québec; • à une projection des besoins pour les prochaines années; • à un étalonnage avec d’autres administrations. b que le ministère de la Santé et des Services sociaux planifie l’allocation des budgets afin d’atteindre cette cible; c que le ministère de la Santé et des Services sociaux rende compte de l’allocation de ces ressources en faisant la distinction entre les différents volets des services de soutien à domicile pour les personnes qui ont une incapacité temporaire, pour celles qui reçoivent des soins palliatifs et pour celles qui ont une incapacité significative et persistante. RECOMMANDATION 2 Considérant que la responsabilité de l’application de la Politique sur le soutien à domicile relève du ministère de la Santé et des Services sociaux; Considérant que l’adoption de la Politique sur le soutien à domicile devait remédier à la disparité dans l’application des paramètres du programme et que cette disparité perdure en 2012; Considérant que le système de santé et de services sociaux subit les contrecoups du manque de services de soutien à domicile et que cela contribue à un engorgement des lits d’hôpitaux et des urgences; [30] Le Protecteur du citoyen recommande a que le ministère de la Santé et des Services sociaux élabore des lignes directrices énonçant clairement l'offre de services disponibles en vertu de la Politique de soutien à domicile, selon les besoins de la population; b que les Agences de la santé et des services sociaux et les CSSS appliquent ces lignes directrices et informent adéquatement leur population de l'offre et de la disponibilité de ces services. Le Protecteur du citoyen demande au ministère de la Santé et des Services sociaux de lui faire parvenir, au plus tard le 29 juin 2012, un plan de travail pour la réalisation de ces recommandations et de lui faire rapport, deux fois l’an, de l’état d’avancement de ce plan, et ce, jusqu’à l’implantation complète des recommandations. Bibliographie AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA GASPÉSIE–ÎLES-DE-LA-MADELEINE, Cadre de référence régional des services de soutien aux proches aidants, janvier 2011. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MONTÉRÉGIE, Cadre de référence régional-Programme soutien à la famille, juin 2011. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MONTÉRÉGIE, Cadre de référence sur les mesures de soutien à l’enfant et à sa famille, juin 2010. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MONTÉRÉGIE, Orientations régionales, Services d’aide à domicile offerts à la clientèle en perte d’autonomie liée au vieillissement, juin 2011. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DES LAURENTIDES, Cadre normatif — Soutien à la personne, juin 2009. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DES LAURENTIDES, Programme soutien à la personne, révision du cadre normatif, juin 2009. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DES LAURENTIDES, Programme soutien à la personne, révision du cadre normatif, mise à jour le 3 février 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX CHAMPLAIN, Manuel des offres de services – Soutien à domicile, mai 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE BORDEAUX-CARTIERVILLE-SAINT-LAURENT, Balises définissant l’offre des services d’aide, mai 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE BORDEAUX-CARTIERVILLE-SAINT-LAURENT, Cadre de référence – Les services d’aide à domicile, août 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE BORDEAUX-CARTIERVILLE-SAINT-LAURENT, Cadre de référence – Soins palliatifs à domicile, juillet 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE DORVAL-LACHINE-LASALLE, Cadre de référence, mars 2006. [Ce document provient de la direction des programmes PPALV – Soutien à domicile] CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE DORVAL-LACHINE-LASALLE, Guide d’attribution des services d’aide à domicile à l’intention des intervenants des services à domicile, novembre 2006 — révisé décembre 2009. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE L’OUEST-DE-L’ÎLE, Balises – Aide à domicile, juin 2010. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE L’OUEST-DE-L’ÎLE, Critères généraux d’accessibilité au soutien à domicile, document de travail, mars 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE L’OUEST-DE-L’ÎLE, Les services d’aide à domicile — Programme PAPA-DP/première ligne, révision septembre 2007. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE L’OUEST-DE-L’ÎLE, Politique – Aide à domicile 2011-2012, document de travail, 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE LA MONTAGNE, Cadre de référence – Aide à domicile, janvier 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DES ÎLES,Cadre de référence pour le soutien à domicile, mars 2011. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DES ÎLES,Cadre de référence pour le soutien à domicile, mars 2011. Bibliographie RÉGIE RÉGIONALE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA GASPÉSIE–ÎLES-DE-LA -MADELEINE, Politique régionale en soutien à domicile, juin 2001. RÉGIE RÉGIONALE DES SERVICES DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTRÉAL-CENTRE, Programme de subventions pour le soutien aux familles vivant avec une personne handicapée – cadre de référence à l’intention des CLSC, juin 1995. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA GASPÉSIE–ÎLES-DE-LA-MADELEINE, Rapport annuel sur l’application de la procédure d’examen des plaintes et l’amélioration de la qualité des services –2009-2010, septembre 2010. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE LA CÔTE-DE-GASPÉ, Rapport annuel sur l’application de la procédure d’examen des plaintes, la satisfaction des usagers et le respect de leurs droits — 2008-2009, 2009. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE LA CÔTE-DE-GASPÉ, Rapport annuel sur l’application de la procédure d’examen des plaintes, la satisfaction des usagers et le respect de leurs droits — 2009-2010, 2010. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DES ÎLES, Rapport annuel de gestion 2009-2010, juin 2010. CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DU LAC-DES-DEUX-MONTAGNES, Rapport annuel 2008-2009 sur l’application de la procédure d’examen des plaintes, la satisfaction des usagers et de la clientèle et le respect de leurs droits, mai 2009. INSTITUT CANADIEN D’INFORMATION SUR LA SANTÉ, Dépenses du secteur public et utilisation des services à domicile au Canada Examen des données, mars 2007. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, Chez soi le premier choix – La politique de soutien à domicile. Québec, 2003. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, Chez soi le premier choix – Précisions pour favoriser l’implantation de la politique de soutien à domicile. Québec, 2004. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, Plan d’accès aux services pour les personnes ayant une déficience — Afin de faire mieux ensemble, juin 2008. Votre service d aide à domicile ADMR souhaite définir son projet de service pour les cinq prochaines années. Votre avis est indispensable pour cela. Est-ce que notre service vous satisfait ? En quoi devons nous nous améliorer ? Quel avenir devons-nous envisager ? Quels sont vos besoins ?Les réponses que vous donnerez resteront strictement confidentielles. réponse obligatoireQuestion 1Quelle association intervient à votre domicile ?réponse obligatoireQuestion 2Quel mode d'intervention est utilisé pour les prestations de l'ADMR à votre domicile ?Si vous employez directement l'intervenant, veuillez cocher le Mode Mandataire. Dans le cas où l'association emploie l'intervenant, veuillez cocher le Mode PrestataireMode MandataireMode PrestataireQuestion 3Qui répond ?Le clientL'aidantLa familleAutre réponseQuestion 4Quelle est la nature des interventions effectuées à votre domicile plusieurs réponses possiblesAide à domicile entretien du linge, entretien du logement '…Aide aux personnes âgées, aux personnes handicapées aide au lever, au coucher, à la toilette, aux courses, préparation et/ou prise de repas '…Garde d'enfants lever, coucher, bain, déplacement, promenade, repas ...Jardinage / bricolageLivraison de repasQuestion 5Cochez la colonne qui représente le mieux votre avis sur la relation avec l'association Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = trèsLes horaires d ouverture de l association sont adaptés décocher Les locaux sont accessibles et bien agencés décocher L'accueil dans les locaux est aimable et courtois décocher L'accueil téléphonique est aimable et courtois décocher La mise en contact avec le bon interlocuteur est assurée décocher Les contacts avec l'association sont suffisamment fréquents décocher Le personnel administratif est disponible et réactif décocher Question 6De façon globale, le travail réalisé est-il satisfaisant?Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = très décocher Question 7Cocher la colonne qui représente le mieux votre avis sur le personnel d'intervention Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = trèsLa ponctualité décocher La compétence décocher L'écoute décocher La discrétion décocher Question 8Cocher la colonne qui représente le mieux votre avis sur la qualité du travail et la continuité des interventions Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = trèsLe travail réalisé correspond au travail prévu dans le contrat décocher Le travail réalisé correspond à vos besoins décocher Dans le cas d'absence imprévue maladie de l'intervenant par exemple, le service s'adapte correctement décocher Dans le cas d'absence prévue congés de l'intervenant, le service s'adapte correc décocher Question 9Est-ce que plusieurs intervenants viennent à votre domicile soins infirmiers, kinésithérapeute ... ?OuiNonQuestion 10Dans le cas où plusieurs intervenants viennent à votre domicile, direz-vous qu'il y a une bonne coordination entre eux ?Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = très décocher Question 11Si vous avez déjà formulé une réclamation, avez-vous été satisfait de la réponse ?Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = très décocher Question 12Recommanderiez vous l'ADMR à vos relations ?Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = très décocher Question 13Quelles nouvelles activités votre service d'aide à domicile devrait-il proposer à ses clients ?Question 14Souhaiteriez-vous qu'aient lieu des rencontres conviviales ou informationnelles ? si oui, précisez les sujets OuiNonCommentairesQuestion 15Apprécieriez-vous que le service vous recommande l'utilisation de produits d'entretien écologiques ?OuiNonCommentairesQuestion 16Quelles sont les précisions et les suggestions que vous souhaitez apporter ?réponse obligatoireQuestion 17Bénéficiez-vous d'un service de portage des repas à votre domicile par l'ADMR ?Si vous bénéficiez d'un service de portage des repas par l'ADMR, nous vous remercions de répondre aux 3 questions suivantes. Dans le cas contraire, veuillez ne pas tenir compte des questions 18, 19 et 18Cocher la colonne qui représente le mieux votre avis sur le portage des repas Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = trèsLes horaires de livraison décocher L'amabilité du livreur décocher La compétence du livreur décocher La présentation des repas décocher La variété des menus décocher La qualité des entrées décocher La qualité du plat principal décocher La qualité du dessert décocher La quantité des entrées décocher La quantité du plat principal décocher La quantité des desserts décocher Question 19De façon globale, êtes-vous satisfait du service de livraison des repas ?Merci de cocher la case correspondante 1 smiley = pas du tout, 2 = peu, 3 = plutôt, 4 = très décocher Question 20Quelles sont les précisions et les suggestions que vous souhaitez apporter sur le portage des repas ?Vous aussi, créez votre questionnaire en ligne !C'est facile et gratuit. C'est parti !

enquete de satisfaction service aide à domicile